J’adopte le réflexe vélo ou marche à pied. Sinon, je privilégie les transports en commun.

Haaaaaaa la voiture.

Syno­nyme de liber­té pour cer­tains, sym­bole de réus­site sociale pour d’autres, outil de tra­vail (pas tou­jours) indis­pen­sable ou tout sim­ple­ment moyen de dépla­ce­ment confor­table et com­mode… S’en pas­ser relève d’un vrai défi. Voire du défi ultime, pour beaucoup.

Et pour­tant, on le sait tous, la voi­ture, c\’est encom­brant et très pol­luant. Sans oublier… peu effi­cient. En effet, une voi­ture reste garée 95% du temps et son taux d’occupation moyen est de… 1,4 per­sonne (et plus bas encore pour les tra­jets domi­cile-tra­vail où on tombe qua­si­ment à une per­sonne par voiture).

En plus, le fonc­tion­ne­ment d\’une voi­ture à moteur ther­mique (essence, die­sel, gaz…) est opti­mal seule­ment quand tous ses élé­ments (moteur, pneus, cata­ly­seur…) sont chauds. Ce qui n\’est pas le cas sur des dis­tances infé­rieures à cinq kilo­mètres. Avec 50% de car­bu­rant de consom­mé en plus sur le pre­mier kilo­mètre et 25% sur le deuxième, la voi­ture est donc par­ti­cu­liè­re­ment pol­luante sur des petits trajets.

Et quand on pense qu’en Bel­gique, 40% des dépla­ce­ments de moins de deux kilo­mètres se font encore en voi­ture, on se dit qu’il y a moyen de faire (beau­coup) mieux.

Et c’est ici qu’interviennent la marche et le vélo !

Outre l’exercice phy­sique bien­ve­nu et bien­fai­teur, ces pra­tiques ne consomment pas d’énergies fos­siles, n’émettent pas de pol­luants dans l’atmosphère, ne causent pas d’embouteillages… et sont bien sou­vent tout aus­si rapides, voire plus, que la voi­ture. Béné­fique à tous niveaux !

Et si le tra­jet est trop long ou la météo trop rigou­reuse, il y a tou­jours les trans­ports en com­mun. Sûrs, éco­lo­giques, par­ti­cu­liè­re­ment adap­tés aux tra­jets vers des des­ti­na­tions bien des­ser­vies, ils per­mettent en plus de lire, tra­vailler ou écou­ter de la musique !

Allez, on adopte la mobi­li­té douce !