J’isole mon logement, en commençant par le toit.

Brrrrr…

En cette période de l’année, on com­prend aisé­ment tout l’intérêt – pour le confort – de vivre dans un bâti­ment adé­qua­te­ment chauf­fé et – pour le por­te­feuille – qui conserve bien la chaleur.

Et pour cause ! même s’il n’est uti­li­sé qu’une petite moi­tié de l’année, le chauf­fage repré­sente en moyenne entre 65 et 75% de la consom­ma­tion d’énergie chez soi. Cela repré­sente en moyenne 55% de la fac­ture d’énergie, soit quelque 1000 €/an en moyenne. Fameux budget !

Pour dimi­nuer ce mon­tant, le plus effi­cace est d’améliorer l’isolation du bâti­ment. Et comme la cha­leur monte, le toit est ce qui doit être iso­lé en prio­ri­té. De fait, c’est par là que se font entre 25 et 30% des pertes de cha­leur de la maison.

Iso­ler son toit est donc une des opé­ra­tions les plus judi­cieuses pour dimi­nuer la consom­ma­tion de chauf­fage. C’est un coût non négli­geable, c’est vrai, mais les éco­no­mies à réa­li­ser sont impor­tantes. Sans par­ler du confort et de la plus-value écologique.

En plus, des primes éner­gie existent pour aider à réa­li­ser de tels tra­vaux éco­no­mi­seurs d’énergie.

Alors, à vos devis ?

Et si vous le faites, pen­sez aux iso­lants natu­rels. Ils sont tout aus­si effi­caces mais leur impact sur la san­té et l’environnement est bien moindre.