Je baisse le thermostat sur 15 ou 16 °C la nuit et quand je m’absente

La couette, c’est chouette !

On s’y emmi­toufle, elle nous tient bien chaud, et elle ne demande ni gaz ni mazout pour le faire.

Du coup, on peut sans sou­ci bais­ser le ther­mo­stat, dor­mir pai­si­ble­ment dans une chambre plus fraîche et lais­ser la chau­dière se repo­ser elle aus­si. C’est excellent pour la san­té, la pla­nète et le por­te­feuille… On fait d’une pierre trois coups !

De manière plus glo­bale, il est bon de chauf­fer son loge­ment « par inter­mit­tence », c’est-à-dire de le lais­ser bais­ser en tem­pé­ra­ture quand on n’est pas là ou sous la couette. Cela per­met une éco­no­mie de 10 à 25% d’énergie… Loin d’être négligeable !

Sur une fac­ture moyenne de 1000 €/an (1000 litres de mazout ou 1000 m³ de gaz), le gain se situe ain­si entre 100 et 250€/an.

Ce chauf­fage par inter­mit­tence est d’autant plus inté­res­sant que le bâti­ment est mal iso­lé. Dans les loge­ments modernes « pas­sifs », la déper­di­tion de cha­leur du bâti­ment est tel­le­ment lente que cela se jus­ti­fie moins. Mais pour les autres…