J’investis dans une coopérative citoyenne d’énergie durable.

Aujourd’hui, mettre son argent en banque ne rap­porte qua­si­ment plus rien. Et cet argent qui « dort » sur nos comptes en banque, à moins d’être dans une banque éthique, est bien sou­vent uti­li­sé de façon opaque par la banque pour finan­cer des pro­jets du sec­teur des éner­gies fos­siles et ne contri­bue donc en rien à la tran­si­tion éco­lo­gique, bien au contraire…

Pfffff, si seule­ment il exis­tait une alter­na­tive éco­lo­gique et rentable…

Mais il en existe ! Plein même !

Vive les coopé­ra­tives citoyennes d’énergie durable.

Inves­tir dans de telles coopé­ra­tives par­ti­cipe à la tran­si­tion vers un sys­tème éner­gé­tique plus durable puisqu’elles inves­tissent dans des pro­jets béné­fiques pour l’environnement, de façon transparente. 

Deve­nir coopé­ra­teur, c’est donc deve­nir finan­ciè­re­ment acteur de cette tran­si­tion, mais c’est aus­si s’impliquer acti­ve­ment dans un mou­ve­ment où le citoyen a la pos­si­bi­li­té d’influencer pro­fon­dé­ment et dura­ble­ment la ges­tion du pay­sage éner­gé­tique qui l’entoure tout en ren­for­çant le tis­su social. 

Enfin, alors que le ren­de­ment le plus éle­vé dis­po­nible sur le mar­ché de l’épargne belge pla­fonne à 1,20%, les coopé­ra­tives citoyennes d’énergie durable dis­tri­buent jusqu’à 6% (le maxi­mum légal) de divi­dendes par an.

Jack­pot pour l’homme, la pla­nète et le por­te­feuille ! Il est plus que temps de repen­ser nos placements…